× Like a predator ...

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Le prédateur observé…
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Un ciel bleu sombre, un vent froid et pénétrant. Les faibles lumières orangeâtes des lampadaires n’éclairaient pas grand-chose. On pouvait entendre le ronronnement des rares voitures mais à cette heure-ci peu de gens se déplaçaient. L’université était calme, ce n’était plus l’effervescence comme la journée. On pouvait s’y aventurer sans se faire voir mais il fallait faire attention aux bruits, ils étaient souvent trompeurs.

Un nuage de fumée emporté par le vent. Le campus était humide. L’herbe fraiche crissa sous le poids d’une jeune vampire en rodage dans la région de l’université. Le soir venut, il y avait toujours des irréductibles qui s’y promenaient et ça elle le savait… Elle se mit sur la pointes des pieds pour faire le moins de bruit possible et se mit en chasse. Son corps était étrangement souple et sa peau d’un blanc nacré. La vampire parcourut le petit parc autour de l’école, personnes. Elle traversa les pelouses, plus rapide que l’éclair et tomba sur un jeune homme plutôt gringalet. Il n’était pas très grand ni très musclé, tout le contraire de ce qu’aimait Juliette. Ce serait une bonne proie pour ce soir. Le sang jeune et toujours meilleur.

La brune se faufila derrière un mur et le guetta quelques instants. Ses cheveux noirs étaient ébouriffés sur le haut de son crâne, son nez était fin et ses mains tremblantes. Ce qui dérouta quelque peu la vampire. Pourquoi restait il ici s’il avait froid .. ? Attendait il quelqu’un .. ? Juliette paria sur cette piste et s’approcha plus près. Son souffle était saccadé et de petit nuage de vapeur sortait de sa bouche. La vampire se releva et s’afficha à la lumière devant lui. Elle se lécha les crocs qui commencèrent à descendre. Le jeune homme paru soudainement affolé mais avant qu’il eut le temps de crier Juliette l’attrapa par le coup et serra. Serra, plus fort, jusqu’à qu’elle puisse apercevoir une veine dans son coup. Une fois cela fait elle planta ses deux sabres qui lui servaient de canines. Le jeune homme perdit au fur à mesure ses forces puis son corps devant mou. Juliette continua à aspirer son sang lorsqu’elle entendit des pas dans sa direction. La vampire laissa sa proie dans l’état où elle l’avait laisser et s’enfuis lâchement dans la nuit. Elle s’était dit que ça aurait pu etre une autre proie mais reflechis et se dit qu’elle pourra la garder pour une prochaine fois…
La vampire courut et se dirigea les rues des lotissement et repris une allure nromale. Elle entendit un crit aigu et se dit que c’était surement la personne qu’attendait le jeune homme. La vampire ne se retourna pas et continua d’avancer.

Au détour d’une rue elle entendit un grain de voix qui lui était familier. Elle tendit l’oreille et se retourna subitement. La brune passa la manche de sa veste en cuir sur sa bouche pour essuyer des tâche de sang qui aurait pu rester sur le contour de ses lèvres pulpeuses. Et puis tout le monde sait que le sang disparait difficilement…

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pétale coulant

Un pétale tomba au sol. Cette nuit là, j'avais décidé de simplement me promener. Tout est différent là nuit et je voulais visiter la ville que voyais en dernier mes victimes. Sur une tombe, j'avais trouvé une rose. Une belle rose comme on en trouve si peu en ce moment de l'année. Elle n'aurais pas perdu ses pétales avant longtemps. Avant que je ne la trouve. Et ses pétales ne tombaient pas au sol, ils coulaient. Une rose rouge... sang. La nuit était aussi douce que ces pétales. Grises, simple. Pas comme ces pétales. Je regretta les soirs d'orages, ou je peux sortir juste pour la sensation du vent et de la pluie. Pluie qui coule. Tout coulait, cette nuit. Comme mon regard. Mes pas me rapprochaient de la boite de conserve où s'entasser tout ces idiots voulant "apprendre". Mais le flot d'étudiant s'était écoulait, seul quelques garçon saoul ou amoureux se promenaient.

Deux pétales coulèrent au sol. Sol pavés, sol gris. Sol coulant. Les étoiles elle-même semblait coulaient sous la lumière de la lune. Comme dans un rêve, un voix me parvint. J'entendit des rires de jeunes hommes. Mon soupire suivit mon tournement de tête. Et les jeunes gens ne purent plus jamais rires de leur vies. Ils ne feraient désormais que crier, inlassablement, leur dépendance a l'alcool. Un sourire éclaira mon visage. De toute mes torture improviser, celle-là devait être la plus réussi. Un petit rire m'échappa. C'est merveilleux comme ce fait banale pouvait améliorer mon humeur. Mon pas se fit plus léger, coulant.

Trois pétales coulèrent au sol.Je fermai les yeux. Et mes pas me guidèrent inévitablement jusqu'à trébucher. Je restai assise un long moment. Je n'étais pas tombée, j'avais coulé au sol. Puis, j'ouvrai les yeux. Un cor avait aussi coulait. Croulait. Un jeune homme fin, léger comme tout. Le sens coulant en une flaque autour de sa tête. Bizarrement, il y en avait peu. De mon doigt, je le goûtai. Bien que je ne fus pas une vampire, j'appréciai le gout du sang, bien coulant. Un peu sale, mais le gout de métal était bien là. Mon sourire s'agrandi. Cette nuit s'annonçait de mieux en mieux. Soudain, une pensée me traversa l'esprit. Vampire. vue les entailles, c'était bel et bien ce qui était passé par ici. Ce fut la seule chose qui en coula pas se soir dans ma rivière de bonheur. Un vampire se promenait en ville, et avait faim. Je me demandai si j'avais torturer des vampire et si je les avais fait coulait dans la folie...

Quatre pétales coulèrent au sol. Je continua ma route. une petite chansonnette me vint a l'esprit. Je l'avais vue dans un conte de fantome.
"Ring around the rosy
A pocket full of posies
Ashes, Ashes
We all fall a down"
Et je sentit une présence. Même sans pouvoirs, mon âme pouvait coulait hors de mon corp et savoir qui été là. Sans pouvoir. Comme le font certain moines. La vampire. Je continua ma comptine et m'avança. De façon a ce qu'il soit derrière moi.
"Puis-je savoir pourquoi une couleuse de sang se promène par ici?"

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Le prédateur observé…
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- Puis-je savoir pourquoi une couleuse de sang se promène par ici "

La brune fixa la masse sombre qui venait de lui parler. Soudain, elle se montra à la lumière. Une jeune femme aux cheveux ébène et au regard bleu glaçant. La vampire ne se démonta pas et contracta ses muscles.

- Oh Lissa… , Dit-elle avec arrogance, Je pourrais te retourner la question.

Juliette inspecta la moindre fibre de son corps grâce à sa vision vampirique. La jeune femme semblait fatiguée et la vampire pensa qu’elle errait sans but particulier à Swallow. Cela aurait été une proie facile, mais la brune avait déjà repris des forces pour au minimum pour trois semaine. Cette nuit était froide et humide, mais Juliette ne ressentait aucune émotion et par conséquent elle ne sentait pas ses muscles se refroidir peu à peu. La jeune femme en face d'elle la regarda droit dans les yeux. Elle savait que Juliette était une vampire mais semblait savoir autre chose. La vampire eu une émotion presque humaine, elle se sentit mal à l'aise. Mais ce que cela lui fit c'est une énorme brullure dans le ventre qui remontait jusque dans les bras. Elle serra les dents, il fallait qu'elle se couche, en plus l'astre de feu n'était plus très loin.

- Bon, ajouta-t-elle, Je n’ai pas que ça à faire. Le jour va bientôt se lever…

La vampire se remit en marche en direction des baraquements à l’entrée de la ville, elle dormirait une fois de plus là-bas. Quoi que, elle passerait surement au bar pour se rincer le gossier. Juliette sortit un paquet de cigarette de la poche de son blouson en cuir. Elle s’arreta une seconde pour l’allumer en la protégeant avec sa main gauche, rangea le briquet et reprit sa route. Seulement, l’étrangère fit mine de la suivre. La vampire souffla sa fumée dans l’air frais.

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Pétale coulant

Toute la fleur tomba au sol. Je gardai mes yeux braqués sur la chasseuse nocturne. Elle me faisait presque pitié. Ces yeux n'avait rien d'effrayant, ils étaient totalement humains. Il me regardaient sans insistance. Je connaissais Juliette pour l'avoir croiser une ou deux fois, de jour. Je croyais qu'entant que vampire elle serait impressionnante! Mais j'avais devant moi qu'une simple jeune fille fatiguée.Le froid tourbillonnaient dans l'air comme un souffle venue des profondeurs de la terre. Mais je n'avais pas froid. J'avais juste envie de rester; la nuit été tombée pourtant le soleil semblait présent. Cette impression était des plsu étranges vue que l'aube ne devrait pas arriver.

- Oh Lissa… ,me répondit-elle, Je pourrais te retourner la question.

Cela m'amusai. Mon sourire se fit plus insistant. Mes la fatigue commença a s'infiltrer dans mon corp. Le vent glissai autour de moi mais ne me pénétrai pas. L'humidité coulait sur ma peau mais ne rentrait pas dans mon âme. Seul une fatigue lancinante s'emparé lentement de moi. Mais je tint mon regard dans ses iris jusqu'à la fin de notre confrontation. Je sentais qu'elle était mal alaise et cette sensation ne fit que me réjouir. J'aurais aimé pouvoir m'occuper d'elle mais les vampires n'ont pas d'émotion. Je soupirai intérieurement; si elle n'avait pas de sentiment, impossible de la faire bien souffrir. Je sentit qu'elle était pressé. Une douce chaleur venus de nul part me signala l'arrivée de l'aube. Je ne savais combien j'étais resté plongé dans son regard.

- Bon, ajouta-t-elle en brisant cet échange, Je n’ai pas que ça à faire. Le jour va bientôt se lever…

Je la vis partir. Elle se retourna et partis vers la sortie de la ville. Je savais qu'il y avait par là des endroits propices pour les vampires craignant le soleil. Pauvre petite chose, qui ne devait pas profiter de tout ces ignorant si facilement impressionnable. Je me cacha dans l'ombre d'une ruelle et la suivis. Cela faisait un bon moment que je n'avais pas suivis quelqu'un discrètement. Ce retour aux habitudes fit disparaître toute ma fatigue. Mais, quand une fumée de cigarette me parvint, je sus qu'elle m'avez vue.

-Ben alors? Tu ne veux pas qu'on discute un peu plus?

Je repris ma route de quelques pas, les mains dans les poches. Tout dans mon attitude montrait que je n'avais pas peur. Jusqu'à dans mon regard qui se retourna et la fixa.

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- Ben alors ? Tu ne veux pas qu'on discute un peu plus ?

La jeune femme avait confiance en elle et tout dans son regard montrait que rien ne pouvait l’ébranler. Juliette se retourna une cigarette au bec. Elle la retira de sa bouche et souffla doucement en levant la tête vers le ciel qui commençait à se coloriser de orange et de jaune. L’étrangère souriait curieusement.

« Que me veut-elle encore celle-là .. ?! »

La vampire repris de l’aplomb et la fusilla du regard. L’aube ne lui faisait pas peur, elle se redressa encore. Juliette sourit et montra a moitié ses crocs qui étincelaient d’un éclat plus blanc que blanc.
L’étrangère ne bougeait pas et semblait attendre quelque chose de sa part. La brune releva le defi.

- La voleuse d’âmes, c’est bien comme cela qu’on t’appelait n’est-ce pas .. ?La vampire sourit, un éclat dans les yeux, Partout où tu allais tu semait la terreur et le désastre, des centaines de vies, des centaines assassinées par les voleurs que tu avais fait rentrer. Des centaines d’âmes emmenées pour quoi.. ? Parce que tu n’étais pas heureuse et tu voulais que ces personnes ressentent ta douleur… Après ça tu oses me défier ici .. ?

Lissa sembla choquée. Ses yeux devenaient vitreux, elle devait sans doute revoir des images de sa vie passée. Juliette avait touché le point sensible, elle sourit à pleine dents maintenant. Le soleil avait finit par se lever mais la vampire ne bougea pas, elle ne fondit pas en un petit tas de cendres, ne s’enflamma pas. Juliette remis la cigarette a ses lèvres. Lissa semblais être loin de la scène qui se passait. La vampire s’avança vers elle et l’attrapa par le cou. Elle plante ses ongles dans sa chair, le sang ruissela dessus. Elle les porta à sa bouche et les lécha sensuellement. L’étrangère tomba au sol, elle semblait étouffer. Juliette se retourna une fois de plus, cracha sa fumée et repartit en direction des baraquements.

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Pétale coulant

- La voleuse d’âmes, c’est bien comme cela qu’on t’appelait n’est-ce pas .. ?, Partout où tu allais tu semait la terreur et le désastre, des centaines de vies, des centaines assassinées par les voleurs que tu avais fait rentrer. Des centaines d’âmes emmenées pour quoi.. ? Parce que tu n’étais pas heureuse et tu voulais que ces personnes ressentent ta douleur… Après ça tu oses me défier ici .. ?

Evidemment. Le nombre de personne qui m'avait dit cela. Ce n'était pas la première et sans doutes pas la dernière. Je connaissais la réponse. Je savais que si je faisais cela, c'était juste pour m'amuser. J'étais; en fin de compte; une fille des plus normale. Des amis et une passion. Et aucune loi ne m'interdisait de ne pas faire ce que je préfère au monde. Tout le monde dit toujours de réaliser ses rêve est une bonne chose, mes actes ne sont que bienfaisance. Personne ne l'avait jamais compris mais a quoi bon? De toute façon, on ne m'en voulait pas sinon les âme torturés ne serait pas mes amis. Cela me rappela tout ceux avec qui j'avais torturé, massacré avant de les faire mourir. Et pourtant, c'était désormais mais amis.
D'ailleurs, on affiliés souvent l'amitié au bien mais je me souvenais d'un vieil ami.Il avais fait sombré un pays dans le chaos pour ses amis. Qu'y avait-il de plus beau; hormis un beau cri de souffrance? Mes souvenirs m'enveloppèrent un instant. Un seul instant, mes pieds retouchèrent les sable et je sentit une chaleur immense m'envahir. Qu'un seul instant. Ici, c'est la réalité.

Le soleil pointa, rougeoyant. Et au même moment, un rouge sanglant tacha le sol sous mes pieds, quelques centimètre au-dessus des dalles. Quelque chose de dure se glissa sous ma peau. C'était elle, réelle, qui m'enfonçait ses ongles dans le cou. Elle dégusta quelques goutte du liquide rouge avant de s'en aller. Je me laissa croulé au sol.

-Alors, il est bon mon sang?

Je me relevai calmement. Du bout du doigt, quelque furent prélevé de ma blessure sanglante. Ma langue reçut le gout métallisé comme un cadeau tombé du ciel. Il était frai, autant que la blessure d'où il provenait. Je m'approchai a pas lents de la jeune vampire. Je plaquai une main sur ça bouche.

-Effectivement. lui-chuchotai-je dans le creux de l'oreille. On sentait très bien sa panique. Et le tien?

Mon doigts passa deux fois sur ses lèvre. Une première, du sang coula d'une blessure. La seconde, il récolta le liquide poisseux et le déposa sur mes lèvres. Celui-là était chaud. Je m'éloignai pour admirer se tremblements de peur.

- Tu manque de sang-froid!

Mon propre rire résonna dans les ruelles et tinta comme un champ d'oiseau dans l'aube naissante.

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Le prédateur observé…
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-Alors, il est bon mon sang ?

La jeune femme se releva doucement puis regarda la brune et demande froide comme la pierre :

-Et le tien ?

Elle plaqua une main sur Juliette qui la regarda en lançant des éclairs de ses yeux bleus glacés. Puis elle passa ses ongles sur ses lèvres pour en faire jaillir le sang écarlate de la vampire. Celle-ci tremblais de colère elle ne pensais qu’à une seule chose :
La saigner à blanc. Et la tuer une bonne fois pour toute.

- Tu manques de sang-froid !
Rigola t-elle.

Son rire lézarda les murs et revint en échos dans la tête de la vampire qui ouvrit de grands yeux. L’étrangère se remit en marche et commença à partir dans la direction que prenait Juliette. Celle-ci pris une grande inspiration d’air frais et se calma peu à peu la fusillant toujours du regard. La jeune femme semblait se plaire à martyriser toutes les personnes qu’elle croisait. Elle se sentait sans nul doute supérieur à ses congénères du fait qu’elle est dévastée la vie de nombreuses personnes à elle seule. La vampire se tint droite et regarda autour d’elle. Le soleil était haut, les gens "normaux" sortaient de chez eux et bientôt Juliette devrait se confondre parmi les véritables personnes qui peuplaient cette ville.

La vampire connaissait Swallow comme sa poche et décida de partir en direction de la galerie d’art pour finir de se calmer. Juliette avait une allure tout à fait normale, si on la voyait comme cela on aurait pu croire qu’elle n’était qu’une simple humaine et pourtant…

La vampire traversa toute la ville en quelques minutes et arriva devant la galerie qu’elle appréciait tant. Elle poussa la porte de verre et s’engouffra dans le bâtiment qui, à cette heure, était vide bien évidemment. Juliette contempla durant de longue minutes un tableau puis se remis à penser à l’étrangère qui avait un comportement plus que désagréable et parfois même dangereux. Non par pour sa vie mais pour celles d’autrui. Il suffisait juste qu’un humain passe sous son nez et cela pouvait tourner à la catastrophe.

Swallow c’était fait découverte pour des faits de séries de meurtres suspects et les policiers engagés sur ces affaires n’avaient jamais découvert à quoi ou à qui cela était lier. C’est pour cela qu’ils trainaient souvent dans les rues et que certaines créatures étaient mortes de faim ne trouvant plus de proies pour leur propre survie. Juliette n’avait pas encore été confrontée à cela et elle trouvait souvent de quoi se "nourrir" mais elle avait déjà croiser des vampires qui n’avaient pas consommer de sang pendant plus de 3 semaines et le résultat en était plus que pitoyable.
Juliette continua son tour dans la galerie d’art et quand elle en ressortit le soleil dardait déjà ses derniers rayons.

« Je suis restée tant de temps que cela .. ? »

La vampire ressortit et marcha dans les ruelles jusqu’au bar. Elle rentra et s’assit devant le comptoir. Elle tira sur son paquet de cigarettes et en alluma une. La fumée grise se répandit comme un serpent dans la pièce. Juliette commanda aussi un verre de vodka pour accompagner sa fin de journée. La vampire regarda autour d’elle. Il y avait peu de monde. Surement des habitués. Juliette finit son verre, paya le barman et sortit finir sa cigarette dehors. Ce soir elle dormirait dans le manoir des vampires de la ville. Un peu de compagnie ne pouvait pas lui faire de mal …

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