Chasse au Crépuscule

Poppy feat Lissa

J'en ai marre d'être une machine à tuer démoniaque !

Je voulais prendre un peu l'air. Je me suis alors aventurée dans la zone sud. C'était le crépuscule, et ce n'était guère prudent d'y aller. La zone sud de Swallow a été désertée quand le nombre de victimes a atteint son baroquisme. En revanche, je sentait que Despair n'était pas loin. Je marchais, le vent me fouettait le visage. Cela faisait du bien. Le ciel était d'un orange pâle, un peu jaune vers certains endroits. Je n'avais rien à craindre dans la zone sud. Je ne suis pas comme ces idiots d'humains. Pourtant, j'aimerais en être un, et non une machine à tuer démoniaque.
Je me dirigeais vers le parc, qui était silencieux. Juste à côté, il y avait un cimetière. Je n'était jamais allée par ici. Soudain, je humais l'air. Il avait une odeur inhabituelle. Une odeur étrangère ! A Swallow, on savait immédiatement lorsque quelqu'un d'inconnu venait sans y être invité. Si ce malheureux était un humain, il ne ressortirait jamais de Swallow. Les vampires allaient lui sucer le sang ou je me délecterai de son âme.
A la frontière du parc, je pouvais voir le cimetière, gris. Il n'y avait pas une âme ici. Je trouvais cela très étrange. J'avais humée une odeur pourtant, qui ne m'était pas familière. Soudain, ma vue se brouilla, et tout devint rouge. Ma peau devint pâle, et mes yeux dorés, avec une lueur rouge sang. J'entendis la voix de Despair dans mon esprit :
"Une étrangère... Je peux la sentir ! Allons traquer son âme !"

Je courais, aussi vite que la lumière. Mon instinct de traqueuse démoniaque prenait le dessus. Mais dans mon corps, une fulgurante douleur ne cessait de m'envahir. C'est alors que je la vis, l'étrangère. Je me mis debout, je m'avançais vers elle.
Puis je lui dis, enfin Despair lui dit :

"Ce n'est pas prudent de s'aventurer ici. Ce n'est d'ailleurs très dangereux de vivre à Swallow. Je passai ma langue sur mes lèvres. Ton âme est simplement... délicieuse."

Et soudain, j'éclatai d'un rire puissant, qui n'avait rien de chaleureux.

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inutile mais indispensable

Qu'y a-t-il de plus amusant qu'une soirée entre copain? Ou chacun discute avec l'autre de sujet divers et variés. On se dispute amicalement, on se fait des plaisanterie et on se chuchote des secrets. Si vous cherchez une bande de copains discutant de chose et d'autre dans un parc, venez par ici. Moi et mes amis nous feront un plaisir de vous...faire mourir de folie.

Ce soir là, je discuter avec trois amis dans le parc abandonnés. De loin, quatre jeune silhouette rigolant et se chamayant pourrait être normale. Mais dans ce décor fantomatique, dont trois personne flottantes et vue notre discussion, non. Nous parlions du rapport entre le sang et la peur. Pourquoi cela éffrait certain et en ravisse d'autre. Deux pensait que cela avait un rapport avec les vampires. Je leur fit "gentiment"; comme je peux l'être; que j'aimais le gout du sang mais que les chauve-souris et moi, ça faisait deux.
Nous avancions dans les herbes folles lentement quand un des fantôme nous arrêta. Ce dernier était particulièrement sensible au personne qui l'entourait. Ces pourquoi nous nous tûmes et attendîmes en silence.
Pourtant, seul la lune et nous se découpaient dans le silence. On se serait dit au coeur du désert, une nuit. La fraîcheur ne faisait qu'aidé a cette étrange sensation.
Nous reprîmes notre discussion jusque tard dans la nuit. Nous nous quittâmes comme toujours. Eux vers leur tombe et moi assise dans l'herbe. Je connaissait bien les étoiles, pourtant celle-ci était différentes. Elles ne servait a rien; elles étaient inutiles. Dans mon ancien chez moi, elle permettait de se retrouver dans le désert, seul repère dans cette immensité d'or. Mais ici, a part pour quelques idiots pensant prédir l'avenir grâce à elle, elle en servait strictement a rien. Pourtant elles éclairait si magnifiquement la nuit que cela serait bien morne sans elles. On peux sans passer mais pourtant, elles sont inutiles. Ce concèpte me fit sourire.

Autour de moi, la nuit semblé elle-même sanglante, comme imbibé de mes propos. Je me levai pour voir les étoiles de plus près quand un bruit attira mon attention. Je me tourna lentement et vit une jeune fille blonde s'avancer vers moi. Elle a un regard étrange, qui m'est familier. Comme si je revoyais un ami de longue date.

-Ce n'est pas prudent de s'aventurer ici. Ce n'est d'ailleurs très dangereux de vivre à Swallow. . Ton âme est simplement... délicieuse.

Elle ris. Pourquoi? Je me dit qu'elle fairait une belle proie. Victime. Une très bonne étoile a caché, puis a éteindre. Mon sourire ne s'en fit que plus éclantant. Je posai ma main sur son épaule, comme on le fairait a une amie.

-Mais... je te retourne le compliment! Et puis-je savoir ton nom, délicieuse esprit.

Soudain, le déclique intervint. Ce regard, il ressemblait comme deux goutte d'eau a celui d'un démon. Pas n'importe lequel, celui qui vivait dans mon village natal. Un joyeux psychopathe avec qui je me suis tout de suite bien entendue avec lui. J'avais aussi rencontré bien d'autre démon lors de mon ancienne vie. Ils avaient tous était très gentil. Si c'était réellement un démon;et si l'un de ses "confrères" lui avait parlé de moi; il devrait me connaître. Au moins de nom. Je savais ainsi que seul un démon se cachait dans ce corp. Et je savais également qu'il ne fairait pas tout ce déguisement si il pouvait avoir sa véritable apparence. C'est pourquoi, j'ajoutai:

-ou plutot celui qu'on te donne or de ce corp.

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Poppy feat Lissa

Une lueur démoniaque luisait dans mes iris

La jeune fille vint vers moi, posa sa main sur mon épaule, aussi froide que la glace.

-Mais je te retourne le compliment ! Et puis-je savoir ton nom, délicieuse esprit.

Soudain, elle remarqua mes yeux, la lueur démoniaque qui luisait dans mes iris. Elle ajouta plus froidement :

-ou plutot celui qu'on te donne hors de ce corps.

A l'intérieur de moi, j'admirais le courage de cette imprudente pour oser défier Despair comme cela. Et je sentait la fureur du démon, qui me transperça comme si on glissai dans mon corps une épée tranchante. Mon âme poussa un cri de désespoir silencieux. La jeune fille avait toujours sa main sur son épaule. Je prenais sa main, l'examinai et d'un coup, mordit dedans. Je sentait son essence qui venait à ma bouche, et je savourais ce délice. Quand je la relâchait, elle tomba sur le sol terreux, et émit un sanglot. Je voyais la blessure que j'avait faite sur sa peau : Une entaille grise, profonde. Alors je dis d'une voix triomphale :

- C'est plutôt moi qui devrais te poser cette question, l'étrangère. Tu pensais que je ferai une bonne proie, mais sois heureuse que je n'ai absorbé qu'une partie de ton âme.

Soudain, Despair s'envola de mon esprit, sans doute par ce qu'il était satisfait. Je tombait par terre, libérée. L'étrangère vint vers moi, et a vu que un démon m'habitait, et que je n'en était pas un vraiment.

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Qu'est-ce, la pitié?

Elle saisit ma main. Ses doigts froid entourèrent les miens. Puis, tel un chien elle, mordit dedans. Je retint un soupir.De tout les démons rencontrés durant mon ex-vie; aucun n'était aussi... bestial. Elle me faisais rire. Je décidais de jouer a son petit jeu. Je cachai mon rire derrière un petit sanglot de douleur. Pourtant, je n'avais aucunement mal. Je savais qu'elle avais cure repartir avec mon âmes entre ses crocs mais elle n'avais pas compris.
En mon corp, je n'étais pas seule. Son ancienne propriétaire était toujours recluse, endormis. Ou plutot évanouis. C'est fou ce qu'un humain pouvait être faible; pris par surprise. Même moi, je n'avais pus prédire que je me retrouverais là et j'avais passé ma rage sur cette pauvre petite chose. Et ce qu'avais emportait cet étrange démon n'était autre qu'un bout de son âme. Il s'en rendrait compte un jour mais, en ce moment, je pus rire a mon aise; cachant mon sourire derrière de la douleur.

- C'est plutôt moi qui devrais te poser cette question, l'étrangère. Tu pensais que je ferai une bonne proie, mais sois heureuse que je n'ai absorbé qu'une partie de ton âme.

C'est ça, rigole. Tu ne comprend pas que c'est moi, le vainqueur dans tout cette histoire.
Je la vis soudain s'écroulé par terre. Pour avoir possédé des corps durant la plus grande partit de mon ex-vie, je sus ce que cela signifiait. J'aurais pus détruire la jeune fille sous mes yeux pour me détendre. J'aurais pus la détruire; elle et sont corp pour que plus jamais il ne revienne. Mais mon esprit avait établie un autre plan. J'avais décidé d'aider la fille désormais librer devant moi a regagner son corp en entier. Et ainsi, montrer que je n'étais pas une simple gentille petite fille attendant de mourir.
Je m'approchai calmement de la jeune fille écroulée. Elle était heureuse et tout a fait capable de bouge,r je le sentais. Je lui tendis ma main en faisant un rare sourire sans trace de sadicisme.

-Et toi? Comment t'appelles-tu?

Mais un sentiment me parcourus. Comme de la sympathie mais je me sentais toujours supérieur a elle. Comme si je devais aider un ami en détresse. J'y mit le mot que tous me répétaient sans cesse. "pitié"

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Poppy feat Lissa

Elle était tellement pathétique, cette fille, avec sa pitié.

J'était étendu par terre. Despair m'avait libérée. Pour le moment. Je voyais l'étrangère à côté de moi. J'avait bien vu qu'elle n'avait pas eue mal. Mais moi j'avais tellement souffert quand Despair m'avait contrôlée. Dans son regard, de la pitié naissait. Je déteste qu'on ait pitié de moi. Je déteste les gens arrogants qui se croient supérieurs. Je déteste les gens comme elle qui ignorent mon calvaire. Celle que je haissais me dit :

- Et toi ? Comment t'appelles-tu ?

Comment osait-elle me parler ? Alors je lui répondit, avec une fureur maîtrisée :

- J'ai bien vu que lorsque Despair t'a mordu, tu n'as pas eue mal. Tu es particulière. Pour un humain, ça aurait été la pire des morts. Mais tu vois, je n'apprécie pas les gens comme toi qui jubilent lorsqu'ils ont réussi à échapper aux griffes d'un démon. Tu n'imagine pas la douleur que j'éprouve quand il est en moi. Mon âme n'existe plus. J'endure ça depuis mes douze ans. Tu ne peux rien faire pour moi, je suis condamnée. Ton apitoyement ne sers à rien. Tu ne peux pas me tuer et prendre mon corps. Quelqu'un le possède déjà. Maintenant, j'ai besoin d'un peu d'air.

Je sortit un paquet de cigarettes. Avec un sourire sadique, je lui en tendis une.

-T'en veux ?

Je voyais bien que ça la dégoûtait, les clopes. Elle voyait bien que ça me dégoûtait, la pitié.

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l'agneau sans défense.

- J'ai bien vu que lorsque Despair t'a mordu, tu n'as pas eue mal. Tu es particulière. Pour un humain, ça aurait été la pire des morts. Mais tu vois, je n'apprécie pas les gens comme toi qui jubilent lorsqu'ils ont réussi à échapper aux griffes d'un démon. Tu n'imagine pas la douleur que j'éprouve quand il est en moi. Mon âme n'existe plus. J'endure ça depuis mes douze ans. Tu ne peux rien faire pour moi, je suis condamnée. Ton apitoyement ne sers à rien. Tu ne peux pas me tuer et prendre mon corps. Quelqu'un le possède déjà. Maintenant, j'ai besoin d'un peu d'air.

Cela me fit sourire. Je ne jubilais pas. Je voulais juste que je n'étais pas un agneau sans défense. J'admirais tout de même cette manière de faire souffrir. Si je n'avais été aussi résistante et que personne n'habitait en moi, je serais morte, douloureusement. Je vis du coin de l'oeil un des fantôme avec qui je discutais précédemment s'approchais. Il me murmura d'un regard un "que fais-tu" étonné. Un clin d'oeil discret lui fit comprendre de ne pas s'en mêler. Mais il réussis a chasser de moi toute idée de pitié. Car elle non plus n'étais pas un agneau sans défense.
Elle me tendis des cigarettes en souriant. Elle me plaisait. Pourtant, les clopes faisait partit des rares choses (avec l'alcool, les études et le café) que je ne comprenait pas. Bien que j'eu tout essayais pour ne pas me laisser influencer par mon ex-vie, je devrait rester défférente. Je devais me rendre a l'évidence: mon chez moi ne serais jamais ici.

-T'en veux ?

Je savais qu'elle savais que je détestais ça. Pourtant, elle m'en tendait. Elle n'était définitivement pas "sans défense". Cela me fit rire et je m'assis dans l'herbe a ses cotés. Je rendais hommage a la puissance de son démon et a son courage et force a elle. Peu de monde ne résiste au contrôle d'un démon sans mourir. Je le sais, j'en ai rencontrés beaucoup.

-Non merci. Mais tu sais, point de vue douleur j'en ai deux très bon exemple. J'ai celui d'une fille martyrisait; se voyant elle-même faire des horreurs en souriant; sans pouvoir bouger le petit doigt. J'ai celui d'une fille bannit de chez elle, dans un corp qui n'est pas le sien; loin de tout ce qu'elle aime et comprend depuis toujours; et qui ai dit comme perdante.

Je pris une grande inspiration. Je n'avais pas que des amis relativement mort, certain était vivant. l'avait été. Ils devaient m'avoir oublié depuis. Cela me fendis un peu le coeur. Mais pas assez. Je m'en voulais surtout que tous croit que j'avais perdus.

-Ecoute, tu m'as pas l'air si... je choisis mes mots minutieusement "incapable". Tu sais que je ne m'habituerais jamais a; même si mon corp y est né; a cet endroit. Je sais que tu n'es pas une simple petite chose pitoyable. Et si on arrêtais de s'enguirlandais, de toute façon. Et même si c'est pas la grande amitié, je n'ai pas envie de regarder comme un prédateur ou comme une ennemie tout les vivants de cette époque.

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Poppy feat Lissa

L'infidélité et la virilité vont de pair

La fille répondit :

-Non merci. Mais tu sais, point de vue douleur j'en ai deux très bon exemple. J'ai celui d'une fille martyrisait; se voyant elle-même faire des horreurs en souriant; sans pouvoir bouger le petit doigt. J'ai celui d'une fille bannit de chez elle, dans un corp qui n'est pas le sien; loin de tout ce qu'elle aime et comprend depuis toujours; et qui ai dit comme perdante.

Tout cela était bien joli, et je m'en moquais. A croire que Despair m'avait rendue insensible et solitaire.

-Ecoute, tu m'as pas l'air si... je choisis mes mots minutieusement "incapable". Tu sais que je ne m'habituerais jamais a; même si mon corp y est né; a cet endroit. Je sais que tu n'es pas une simple petite chose pitoyable. Et si on arrêtais de s'enguirlandais, de toute façon. Et même si c'est pas la grande amitié, je n'ai pas envie de regarder comme un prédateur ou comme une ennemie tout les vivants de cette époque.

Que je ne suis pas une simple petite chose pitoyable ? Au moins, elle reconnait ça. Et je la respecte pour ça. Finalement, ma haine pour elle fut remplacée par de la curiosité. Après tout, elle n'est pas dangereuse pour moi, et la même chose réciproquement.
J'avait soif. Terriblement soif. Pas d'eau. Mais de souvenirs. Tout ce qui est antérieur à mes douze ans est effacé de ma mémoire. L'amnésie totale. Aucune connaissance d'où je viens. Qui je suis. La voix tremblante, je lui dis, au bord des larmes :

-Tu sais ce que j'apprécie le plus chez les hommes ? Leur infidélité et leur virilité.

Puis, je sortit la cigarette de ma bouche, cracha la fumée, et écrasa le mégot par terre. Puis je partit du banc, en m'abandonnant à mes fantasmes utopiques.

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soif de souvenir

Elle était vraiment triste, apparemment.Sans doute a cause de cette histoire de douleur et de démon.

-Tu sais ce que j'apprécie le plus chez les hommes ? Leur infidélité et leur virilité.

Ah bon? La virilité, je m'en moque mais l'infidélité, c'est plus intéressant. J'eu une bribe de pensée sur le pourquoi elle était triste. Elle ne devait sans doute avoir tout oublié. Depuis ses douzes ans... je trouve ça un peu bizarre d'être triste la-dessus car je n'ai moi-même pas trop de souvenir d'enfance. Ma vie a commencé a l'age de 9 ans. Avant, je en sais pas. Et je m'en moque. Peut après ma naissance; non apparition; tout le monde m'a regardais bizarrement mais je n'ai jamais sus pourquoi. J'ai grandis seule ou avec quelques fantômes.
Je ne peux m'empêcher de sourire. Elle part de son coté. Toute tremblante, plongée dans ses rêves. Je décide de la rejoindre.

-Je m'en moque des hommes, il ne m'intèressent pas du tout.

Je me tournai vers elle. Mon regard se glissai dans le sien.

-Je me demande pourquoi je suis ici, j'aurai du mourir.Je me demande si je suis humainne car j'ai le sentiment de ne jamais être née. Mais que veux-tu donc que je fasse pour t'aider.

C'était la première fois que j'agissais par sympathie. Cette fille, e en la comprenais pas mais je sentais sa peine comme on sens le vent sur son visage. Car j'en avais envie, je me devais de l'aider.

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Poppy feat Lissa

Sa virilité vampirique m'a tentée.

Je m'en moque des hommes, il ne m'intéressent pas du tout.

Ainsi donc les hommes ne l'intéressent pas ? Libre à elle. Moi j'aime leur virilité et leur infidélité pour une seule et valable raison : ils sont honnêtes. Ils montrent qu'ils sont infidèles et nous aprennent que le monde n'est pas un roman à l'eau de rose, où tout le monde est gentil, parfait. Et je ne peut pas résister aux hommes virils. Mais un homme se distingue des autres : Bazil. Je l'ai aimé dès que je l'ai vu, ici même, à Swallow. Sa virilité vampirique m'a tentée. Soudain, cette étrangère inconnue parla, ce qui m'arracha à ma rêverie.

-Je me demande pourquoi je suis ici, j'aurai du mourir. Je me demande si je suis humaine car j'ai le sentiment de ne jamais être née. Mais que veux-tu donc que je fasse pour t'aider ?

Je répondis avec arrogance, d'une voix suave :

-Oh, mais je pourrais te retourner la question. Tu as besoin "d'alliés", j'imagine, tout comme moi.

Soudain, je me souviens d'une phrase qu'un jour Bazil m'avait chuchoté à l'oreille : "J'aime ton étrangeté, et c'est la raison pour laquelle je t'ai choisie." Oh Bazil, j'aimerais croire ce que tu m'as dit, mais je suis réticente au trahisons. Tu m'as brisée le coeur, et c'est là que je t'ai fait horriblement mal. J'ai pris tes pensées, je t'ai liquider le cerveau. Je n'as pas pu prendre ton âme, puisque tu était vampire. Maintenant ton enveloppe corporelle est vide, creuse. Depuis ce jour je me détestes. Depuis ce jour j'ai compris que je ne devais plus traquer personne. Jamais.

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agir pour le bien

-Oh, mais je pourrais te retourner la question. Tu as besoin "d'alliés", j'imagine, tout comme moi.

Elle avait raison. J'avais besoin d'alliés, ne serai-ce que pour passer inaperçue. Mais pourtant, quelque choses d'autre me poussait a accepter. Comme si je n'arrivais définitivement pas a me détaché de mes souvenirs inéxistants. Cette fille qui me tendait la main n'avait rien de normale. Elle était pourtant bel et bien humaine.
Chez les hommes, ceux que j'aime, c'est qu'il croient toujours avoir raison. Ils pensent que quelqu'un faisant quelque chose de "mal" est un ennemi. Ils n'essaient pas de savoir le pourquoi du comment. Ils ne se disent jamais que leurs propres actes sont mauvais. Toute cette mascarade me fait bien rire. Car, au final, toute leur rancune, envie de vengeance se transforme en fantôme. Ce que j'aime chez les humains c'est qu'il y en aura toujours un pour frapper puis d'autre pour ne pas le comprendre. Il y en aura toujours pour m'offrir des amis fort sympathique.
Une autre pensée me fit réfléchir. Devrais-je présenter cette demoiselle a tout mes amis? L'accepterait-il? Oh, en faite je m'en moque. Je fais encore ce que je veux.

-Oki, ça me vas. Mais il faudrait au moins que tu me dise contre quoi on s'allie. Et accessoirement qui tu es.

Et moi, qui suis-je? Suis-je la voleuse d'âme, malédiction venu de l'antiquité ou une simple habitante de cette petite ville? Je n'ai peut être plus de pouvoir mais mon esprit est encore là, et je suis moi-même.

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Poppy feat Lissa

L'arrogance est mon défaut mortel.

Oki, ça me vas. Mais il faudrait au moins que tu me dise contre quoi on s'allie. Et accessoirement qui tu es.

Accessoirement, qui je suis ? Parce que je suis un accessoire de ce foutu démon ? Et ben elle se trompe, la jeune fille. J'ai une âme bien à moi et un caractère bien trempé. De toute manière, les alliances, ça va, ça vient, surtout une alliance avec une étrangère. Le mot tinta comme un carillon dans ma tête. L'étrangère. Le démon. Une alliance inattendue. Une des plus particulières. Que dirait Bazil ? Je ne puis penser à lui, sous peine d'un coup au coeur. Tranchant et glacé comme celui d'un poignard. Qui me ramènes brusquement à la réalité. Je fixait la fille d'un air froid, et arrogant. L'arrogance est mon défaut mortel.

-Eh bien, moi j'ai une âme à moi, qui cohabite avec celle du démon, Despair. Je suis Poppy. Poppy Malone. Et toi qui est-tu, étrangère ?

Le mot sonna dans ma bouche comme une banalité. Après tout, à Swallow, des créatures ancestrales, mythiques et sadiques. Alors je suis habituée. Au fond, on s'habitue à tout. L'homme est formidable. Il s'adapte à tout environnement, tel un caméléon.

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Sans repère

-Eh bien, moi j'ai une âme à moi, qui cohabite avec celle du démon, Despair. Je suis Poppy. Poppy Malone. Et toi qui est-tu, étrangère ?

Je souris. Il y avait bien un démon mais son nom m'étais inconnue. De toute façon les démons existaient partout et ils avaient pus changer en plus deux 2000 ans. Soudain, je ressentis son "étrangère". Je me demandais si il était juste ou pas. Si j'étais vraiment d'ici ou non.
Depuis les quelques années que j'habitais ici, je connaissais les lieux. Pourtant je ne m'étais jamais sincèrement sentie a ma place. Mais en même temps; a quoi bon se poser la question. Je ,n'avais jamais pris la peine de me poser des questions existencielles inutiles, ce n'était pas pour commencé maintenant.
La nuit fraîchissait de plus en plus. Pourtant, les étoiles semblaient plus éclatantes. Comme de la glace qui serait plus belle pars temps froid. Et si les étoiles étaient faites de glace? Un soupire suivis. Je ne comprenais pas pourquoi je me posais ces questions idiotes.

-Tu peux m'appeler Lissa. Etrangère est un peu trop... trop.

Mon ton était calme, presque sympathique. Etrange nuit de question et de joie.

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Poppy feat Lissa

La fin du commencement

Sa voix, à l'aube naissante, était claire, sans moquerie ni vantardises. Je me détendis. Je vit mon reflet dans l'eau du lac, qui était juste à côté de nous. La lune se reflétait dedans. Je me voyais, mes longs cheveux longs et blonds dorés. Mes yeux bleus glacés impénétrable. Ma peau légèrement rosie par l'émotion sur mes joues fines et quelques peu saillantes. Mon regard était perçant, déterminé et dur.

-Tu peux m'appeler Lissa. Etrangère est un peu trop... trop.

Hum, Lissa. Je me souvint d'une fille, à l'orphelinat. Elle s'appelait aussi Lissa. Elle était la seule qui n'avait pas souffert de mes traques répétitives démoniaques. Je trouvais cela étrange, et j'était soulagée pour elle. Je ressentait le mal-être de Lissa d'être une étrangère.

- Tu n'est pas la seule à culpabiliser pour avoir tuer. J'ai liquidé l'amour de ma vie. Si on s'allie, c'est pour s'entraider mutuellement.

J'avait dit cela d'un ton calme et pensif. Avec une légère pointe de nostalgie. Je devais cesser de penser à Bazil. Plus jamais. Soudain, une idée émerga de ma tête nébuleuse.

Despair allait m'habiter éternellement. Il fallait que je trouve un moyen pour faire de mon côté démoniaque une force, un atout dans mon existence tourmentée.

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désolée

désolée pop. j'ai fait une bétise que je suis la seule a pouvoir faire. J'ai tout éffacé sur ce message. Alors, si tu m'en veux pas trop, on va me contenter de la suite. encore désolée.
-

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Poppy feat Lissa

La malédiction d'Hécate

Je n'ai pas connue de "grand amour". Mais il est toujours intéressant de voir la réaction de deux amoureux s'entretuant.

Dans ma tête, je me disais : "Quoi, parce que tu as déjà connu ça ?" Cette Lissa essayait d'être sympa avec moi comme si elle craignait de s'attirer mes foudres, ou néanmoins, les foudres de quelqu'un. Elle n'était pas faible, loin de là, mais elle n'était pas fiable non plus. Surtout lorsque je suis "en mode démoniaque mortel qui tue" , on n'a pas envie de s'attirer mes foudres. Mais lorsque Despair est là, je ne m'attire pas le respect des gens pour autant. De toute manière, j'ai la malédiction d'Hécate sur moi. Oui, Hécate et tout les autres dieux existent encore. Leur civilisation ne s'est pas complètement effacée. Lorsque Despair me possède, un bout de mon âme réussit à exister. Et je vois les souvenirs de ce démon effroyable, qui autrefois était une "empousa", démone au service d'Hécate. Mais la plus puissante des démones, la lieutenante d'Hécate. Mais d'après mes visions, elle l'a trahi, et la malédiction d'Hécate pèse sur moi. Je n'ai pas encore compris comment cela est arrivé mais.. une chose était sûre, une prophétie avait été réalisée pour me pourrir la vie. Et on sait tous que les dieux ont un défaut mortel dont leurs enfant héritent. Et le défaut mortel d'Hécate est l'arrogance.

-Et... quelle est ton idée?

Lissa avait parlé, ce qui me sortit de mes sombres pensées. Mon idée ? Parce que j'en ai une ?

-Mais est-ce que toi Lissa, a une idée ? Parce que moi tu vois je chaume, et je ne suis pas indifférente à ta force et à ta malignité. Lorsque la lune se couche, je suis moins forte. C'est comme si le soleil prenait mes forces et faisait volatiliser mes ressources. L'aube approche vois-tu, et je n'aimerais pas m'attarder..?

J'avait dit cela d'un ton pensif, mais soudain un éclair de lucidité me traversa la tête.

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Problèmes divins

Un léger vent souffler. L'aube tardait, pourquoi en avait-elle peur? Quel rapport entre elle et la nuit, elle n'est pas une vampire. La fraicheur de la nuit et sa présence me met de plus en plus a l'aise. Tout est là pour me rappeler les nuits antiques que je vivais. Un jour, retournerai-je chez moi? Je laissa totues ces pensées de coté et repris mes pensées sur ces paroles.
Je savais qu'elle cachait quelque chose. Son regard n'étais pas sans me rappeler quelque chose. Ses yeux bleus-gris semblait être le copier-coller d'une autre personne. Je chercha dans tout es souvenirs. Cela avait un rapport avec les dieux. Quelque chose comme... Mais oui! Je l'avais vue, ce regard, sur un bas-relief. C'était celui d'une déesse quelconque. Pourquoi je cherchais cette déesse? De la même façon, je m'en souvins d'un coup. Je voulais savoir de quels dieux venait une secte. Quel rapport entre moi et une secte divine? Aucune idée mais cela fait partie des choses que je fait sans réfléchir. Car c'est comme ça et que je sens que ça me serais utile. Et ce nom de secte, quel est-il, déjà?
Cela, je m'en souviens bien. Mais quel est donc le rapport entre cette jeune fille et une déesse antique? La question revient, encore t encore. Est-ce par ce que le nom de la secte qui me reviens et celui du dieu de la lune? Et que, cette déesse l'est aussi; das une autre mythologie? Les dieux grecs et égyptiens sont ils liés? Je tentai sans y arriver de quitté toutes ces questions. Tanpis, je les laisse; je n'en mourrai pas! Je la regarda et, sans plus insisté sur son idée, je lui demandai:

-Connais-tu une secte du nom de Tohtiah ?

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Life is a big Joke

-Connais-tu une secte du nom de Tohtiah ?
Non pas vraiment. Je n'en avait jamais entendu parler. De toute manière, je ne suis pas faite pour les sectes. Je n'obéis à personne. Rebelle. Insaisissable. Arrogante. Solitaire. Libre. C'est ce que je suis. De toute manière, pourquoi me pose-t-elle cette question ? Tohtiah, qu'est-ce que j'en ai faire ? Mais une seule chose retint mon attention : j'avait l'intuition que tout cela était mêlé aux dieux. Egyptiens ? Grecs ? Olympiens ? Je n'en sais rien. Pourtant je sentait que les dieux était liés d'une quelconque manière à moi. Si l'on gratte un peu plus, Despair était une ancienne empousa, servante d'Hécate. Les dieux olympiens existent encore... me répétais-je dans ma tête. Soudain Lissa attira mon regard. Je voyais une lueur interrogative à brûle-pourpoint dans ses yeux. Elle se demandait surement pourquoi je craignais tant l'aube, le soleil, et la lumière aveuglante. Je peux vivre avec ces éléments, c'est supportable. Mais je préfère être contemplée par la lumière douce et glaciale de la lune. Et j'aurais mis ma main au feu en disant que tout cela était lié à Hécate.

-Non je ne connais pas. Mais par contre, est-ce que tu sais quelque chose des dieux antique de Grèce ?

Devant son regard songeur, j'ai ajoutée :

-Ce sont les Dieux de L'Olympe.

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Que dire?

Thotiah. Je l'avais longtemps analyser car étant le seul nom avec le mien qui me revenait. Mélange des deux dieux égyptiens lunaires. Je l'avais remué dans tout les sens. Ce qui m'avait amené a cet autre déesse de la lune. Mais son nom, je l'avais oublié.

-Non je ne connais pas. Mais par contre, est-ce que tu sais quelque chose des dieux antique de Grèce ?

Je réfléchis un petit moment. Non pas ce que c'était mais comment lui expliquer que je les avais presque déjà vus. Du moins, leurs fidèles adorateurs. Avec tout le temps passé a décortiquer leurs âmes, je savais parfaitement ce qu'ils en savaient. Mais elles, me prendrait-elle pour une folle?

-Ce sont les Dieux de L'Olympe.

Je ne fit pas attention a sa seconde remarque. Je ne pouvais pas lui dire "évidemment, j'en ai tuer les plus fervents admirateurs". Mais dire "j'en ai entendue parler" serait mentir et je n'aimais pas cela. Que dire? Je savais parfaitement qu'ils éxistés. Ainsi que les dieux égyptiens, maya et autres. Je le savais car je me doutais qu'ils étaient en lien avec la secte qui me revenais tant a l'esprit. Je leva les yeux aux ciel. Les étoiles commençaient a s'éteindre. Elle me faisait penser au bougies que l'on soufflaient sur les tombes. Automatiquement, mes yeux cherchèrent l'étoile nordique. De l'autre cotés, se trouvaient là où j'habite.
Que dire? Et bien, je sais qu'ils ont beaucoup cotoyés les dieux égyptiens et se sont confondues avec ceux Romains. Je connais l'emplacement de la plupart de leur temples en Egypte. Je connais toutes leurs relation avec les dieux otoctones. Mais surtout, je connais par coeur le nom des dieux lunaires.
Sans hésité, j'affirma:

-Je sais qui ils sont. Je sais où ils sont. Et je cherche a savoir si il y a une secte sur les dieux lunaires nécéssitant de grands sacrifices. Je sais qu'ils sont liés aux dieux égyptiens.

Je lui souris doucement en ajoutant:

-Et en pensant qu'ils sont "mort" avec la fin de leur règne, je les connus de leur vivant.

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The Truth

Pourquoi ? Mais pourquoi ? A quoi cette discussion menait-elle ? A rien. Il n'y avait pas de réponses, pas d'espoir à mes questions, à mes attentes. Je suis condamnée. Oh et puis j'en ai marre de m'apitoyer sur moi même. Je suis démoniaque, croqueuse d'âme, et encore. Au début, Despair était un esprit bien distingué du mien. Deux êtres qui se disputent un même corps, vous voyez le carnage. Maintenant j'assume. Je suis un démon. Et je m'en suis rendue compte à l'orphelinat, lorsque j'avais 12 ans. Une fille appelée aussi Lissa m'avait parlée de forces démoniaques, elle aussi. Elle m'avait fait prendre conscience de ce que j'était vraiment. Cette horrible créature. J'aurais préférée rester dans l'ignorance, car souvent "lorsqu'on sait la vérité , on essaye de changer le cours de son destin." Je me rappelais qu'une femme belle et grise me l'avait dit, il y a bien longtemps je crois. Je suis amnésique, mais j'ai parfois des flashbacks. Et je suis assaillie de nombreux cauchemars.

-Je sais qui ils sont. Je sais où ils sont. Et je cherche a savoir si il y a une secte sur les dieux lunaires nécéssitant de grands sacrifices. Je sais qu'ils sont liés aux dieux égyptiens.

Lissa avait parlée. Quelle surprise ! ricanais-je intérieurement.

-Et en pensant qu'ils sont "morts" avec la fin de leur règne, je les connus de leur vivant.

-Qui, les dieux olympiens ou égyptiens ? Car moi, une déesse olympienne conçoit quelques pensées négatives à mon égard. J'essaie de chercher des indices entre le fait que je craint le jour et le soleil, que le démon qui m'habite était une empousa, servante d'Hécate et que la poisse me colle au cul.

J'avait lâchée ça sur un coup de colère. Puis je me radouci:

-On pourrait accomplir nos quêtes respectives ensembles, dans une trêve. Ne crois pas que Despair te laissera tranquille, après.

Pour moi, cette entente et cette trêve serait temporaire. La traque va bientôt recommencer.

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Tout de gris vêtu

-Qui, les dieux olympiens ou égyptiens ? Car moi, une déesse olympienne conçoit quelques pensées négatives à mon égard. J'essaie de chercher des indices entre le fait que je craint le jour et le soleil, que le démon qui m'habite était une empousa, servante d'Hécate et que la poisse me colle au cul.

La colère qui émanait d'elle me fit trembler. Même dans mes pires coup de colère, je n'étais pas aussi terrifiante. Mais tout de suite après, elle redevins "normal".

-On pourrait accomplir nos quêtes respectives ensembles, dans une trêve. Ne crois pas que Despair te laissera tranquille, après.

Comme si j'avais jamais cru cela! Sa petite crise de rage me fit sourire.

-

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† Born to Die †

Sourire sourire des gens.. Qui fuit qui fuit les manants... Le sourire de Lissa sur son visage atypique fut bref. Je ne fis pas attention aux raisons qui l'a poussait à sourire avec un air si... malveillant. Un sourire tordu et malsain. Pour rigoler et tester sa réaction, je lui en rendis un, éclatant et un peu trop amical. Dans ma tête embrumée, une chanson revenait en boucle : "Come take a walk on the wild side, Let me kiss you hard in the pouring rain. You like your girls insane. Choose your last words, this is the last time : Cause you and I, We were born to die †"
J'aime bien cette chanson, pour cause qu'elle me ramènes à moi, à ce que je suis. J'aimerais tant être née pour mourir. Mais je ne peux, et à quoi bon souffrir si on peut vivre ?

Lissa , Lissa.. Un bien étrange fille. Qui n'a aucun respect pour personne et une liberté à part entière. "Ah ah, plus complexe que ça tu meurs" riais-je en mon for intérieur. Elle pouvait se moquer autant qu'elle voulait de mon attitude, de mes crises de rage, elle pouvait me traiter "de gros bébé", Despair pouvait me retenir au fin fond de mon corps, mais personne, personne, ne pourrais m'enlever ça : mon humour. L'arrogance me tue, l'humour me sauve. Soudain, je vis une table de pique-nique en bois sous un frêne. Rapide comme l'éclair (allez savoir comment ah ah ah), j'allais m'y asseoir, puis je tirait une clope. Peu après, je me relevais, et marchais en direction de l'ouest de la ville pour aller chez moi. Mais avant de repartit, je dit à Lissa :

"ça t'embête pas que je rentre hein ? Tu vois la traque est finie et ça commence à s'agiter. Je n'aimerais pas trop devoir encore tuer quelqu'un. A la revoyure, Lissa Milenor."

Puis, gracieusement, je sortit du parc.

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بوبي و ليصَ

-ça t'embête pas que je rentre hein ? Tu vois la traque est finie et ça commence à s'agiter. Je n'aimerais pas trop devoir encore tuer quelqu'un. A la revoyure, Lissa Milenor.

Je souris. Oui, la traque était finie et je ne pourrais plus m'amuser cette nuit. Tandis que son dos disparaissait dans l'aube naissante, je réfléchis. Une allié était la bienvenue, pourtant, quelque chose me chiffonner. Etait-ce cette jeune fille, issus sans doute d'une déesse que je haïssais? Etait-ce ce changement dans ma vie tout a fait solitaire jusque là? Une goutte me sortis de mes pensées.Je remarqua alors les lourds nuages d'orage recouvrant le ciel. Je souris de nouveau. Puis échappa un petit rire. J'avais trouvé ce qui n'allait pas. Mes sourires était nombreux. Encore plus au coté de Poppy. Pourtant, aussi loin que je me souvienne, quand je vivais en égypte, je ne souriais jamais. Et c'était pour cela que mes sourires était totalement honnête.

Mes vêtement était maintenant totalement mouillés. J'avais envie de tournoyer sous la pluie. Car je sentais une toute nouvelle joie en moi. Mes mains touchèrent la terre humide tandis que je m'écroulai au sol. L'eau coulait dans me cheveux, s'imprégnait de mes cheveux. Une fumée monta d'un arbre au loin. Un roulement ne se fit pas attendre. L'arbre foudroyer n'étais plus grand chose, pourtant, en dégager une douce odeur de roussis. Je me levai doucement, profitant de chaque goutte. Pourquoi j'aime autant la pluie? Sans doute, car elle est des plus précieuse chez moi.

Toujours doucement, je m'avança sur le chemin boueux vers la maison que j'habitais. Les éclairs s'enchaînaient sans interruption et griller de rare fois un arbre ou deux. Je me retourna une ultime fois pour voire le lieu de note rencontre.

A plus, Poppy.

FINIS?